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#105 : Indémnités Compensatoires

Un homme d'un certain âge portant une cagoule s'attaque à une banque. L'alarme est déclenchée par une employée et le hold-up se transforme en prise d'otages. Le jeune recrue Sam Braddock seconde Greg sur le terrain. Un premier assaut est lancé et le personnel libéré, exceptée Ruth Skellar, la directrice de la banque, qui reste aux mains du braqueur. L'Unité de réponse stratégique révèle que le preneur d'otages n'est autre que George Orston, l'ancien chef de la sécurité de la banque, licencié par la directrice. Une course contre la montre va s'engager...

Popularité


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Titre VO
Who's George?

Titre VF
Indémnités Compensatoires

Première diffusion
07.08.2008

Première diffusion en France
13.08.2009

Photos promo

L'équipe 1 prête à tirer

L'équipe 1 prête à tirer

Sam Braddock (David Paetkau) prêt à tirer

Sam Braddock (David Paetkau) prêt à tirer

Greg Parker (Enrico Colantoni)

Greg Parker (Enrico Colantoni)

Sam Braddock (David Paetkau) prêt à tirer

Sam Braddock (David Paetkau) prêt à tirer

Greg Parker (Enrico Colantoni) tente de négocier

Greg Parker (Enrico Colantoni) tente de négocier

Sam et Ed Lane en position de sniper

Sam et Ed Lane en position de sniper

Sam et Ed Lane en position de sniper

Sam et Ed Lane en position de sniper

Spike et Jules en civil

Spike et Jules en civil

Sam Braddock (David Paetkau)

Sam Braddock (David Paetkau)

Plus de détails

Scénariste : Adam Barken

Réalisatrice : Holly Dale

Guests : Nicholes Campbell (George Orston), Shauna McDonald (Ruth Skellar), Christine Brubaker (Wendy), Kevin Bundy (Paul), Nola Auguston (Mary Orston), Kieran Gallant (Garde de sécurité), Asha Vijayasingham (Caissier de banque)

L'équipe est posté devant une banque.

Greg : Sierra 1, attendez mon scorpio.

Sam : Sierra 1, bien reçu.

Sam et Ed son sur un toit. Un homme armé sort de la banque avec un otage.

Georges : (à l'otage) Les mains bien en l'air. Plus haut encore, plus haut.

Ed avec des jumelles les observent.

Ed : Les voilà. Tiens toi prêt.

Sam : Je l'ai dans le viseur.

Georges : (à l'otage) Couchez vous! Couchez vous!

Greg : (A Sam) Non, on attends! (A Georges) Ne faites pas ça ! Stop!


Deux heures plus tôt

L'équipe fait une mise en scène d'une prise d'otage. Sam est le négociateur. Lou et Ed les preneurs d'otages. Jules et Spike les otages. Greg et Wordy supervise

Jules : Non! épargnez nous.

Spike : Pitié, ne nous tuez pas !

Jules : Au secours!

Lou : Et pourquoi ? J'ai rien à perdre du tout.

Sam : Vous avez l'air très énervé.

Lou : Un peu que j'ai les nerfs mon pote.

Sam : Et vous avez sûrement de bonne raison de l'être ?

Wordy : Ne perds pas le contrôle. C'est toi le négociateur.

Sam : On fait quoi pour tous s'en sortir indemne ?

Lou : T'as qu'a me donner ce que je veux.

Sam : Si c'est faisable.

Lou : Tu sais ce que je veux là ? Je veux de la coke. Ca te va comme deal ? Tu me file un sachet et je les relache.

Sam ne dit rien et regarde Wordy et Greg

Spike : Allo la terre! Il y a quelqu'un ?

Ed : Bon alors ?

Spike : On pourrait nous aider.

Ed : Tu réponds ?

Spike : Hé oh !

Lou : C'est quand tu veux, la balle est dans ton camp.

Ed : Il ment comme il respire !

Sam : Je ne suis pas un menteur.

Greg : Te justifie pas. Reprends les commandes.

Sam : Bon, écoutez, à l'évidence, vousêtes tous à bou de nerfs.

Lou : Ouais, ouais. Je suis à deux doigts de les buter.

Jules : On pourrait pas appeler un vrai négociateur. Histoire de nous sauver.

Greg : Reprends toi Sam. Dialogue avec lui.

Lou : Je t'ai dit ce que je voulais oui ou non ?

Sam : Je te donnerai pas de cocaïne, enfoiré.

Ed faisant semblant de tirer sur les otages

Ed : Bang ! Bang !

Spike : Enfoiré ? J'ai révé où il a bien dit ça ?

Wordy et Greg sourient.

Greg : Très bien, Sam. On va faire le point ?

Sam s'éloigne.

Sam : Donnez-moi une minute, Sergent.


Un homme est dans sa voiture, il est au téléphone.

Georges : Tu ne peux pas m'accorder un peu plus de temps ? Je sais pas une ptite semaine ? ... Alors au moins deux jours, accorde moi au moins ... Non, ça ira. Peut-être même ce soir.

Il raccroche. Il prend une arme et une cagoule. Il pleure.


Au SRU, dans la salle de debriefing. Sam est assis, Greg arrive.

Greg : Rien à voir avec Kandahar, pas vrai ?

Sam : J'ai fait tout ce qu'il fallait pourtant. Effe miroir, registre émotionnel, première personne. Toute la procédure ! Mais il faut juste que ...

Greg : Que tu écoutes. Tu assures comme personne avec un flingue et tu portes super bien l'uniforme. Mais une fois que tu es sur le terrain et que tu tentes de convaincre un type, tu dois être capable de l'écouter. Etre capable d'établir un lien.

Sam : Je sais mais seulement ...

Greg : Comment dialoguer avec des méchants quand on a passé 4 ans à leur tirer dessus.

Sam : Il faut que je termine ce rapport.

Greg : Il te faut surtout du temps. Beaucoup d'entraînement et de la patience. D'accord ?

Il lui tape sur l'épaule

Greg : Tu portes bien l'uniforme. C'est déja ça, non ?


Dans une banque :

Ruth : Il y a 12 mois, à présen, cette banque était l'agence la moins performante du groupe C.C.B, situé en centre ville. Un an après, et grâce à votre effort, nous sommes numéro 2.

Les employés applaudissent

Ruth : Avant de démarrer cette nouvelle semaine, j'aimerais faire le point sur les résulats de notre équipe de vente. Meilleur vendeur, pour la troisième semaine d'affilée ...

Un homme arrive

Paul : Désolé, Mlle Skellar...

Ruth : Allez vite rejoindre le groupe. Le meilleur vendeur dans la catégorie Epargne de retraites et fonds de placements est Wendy Trailor. Bravo Wendy.

Nouveaux applaudissements

Ruth : Une excellente semaine à tous et à toutes. Merci encore.

Les employés commencent à s'éloigner

Ruth : Paul ? Juste un mot.

Paul : Mlle Skellar, je suis vraiment navrée. Ma femme vient juste de...

Ruth : Paul.S'il vous plaît, ne vous excusez pas si vous avez des problèmes sur le plan privé. On en a tous.

Paul : Merci. C'était une sale semaine ...

Ruth : Mais... Vos collègues n'ont pas de vocation à rattraper vos erreurs, en revanche. C'est une question de priorités. Choisissez les votres, je vous prie.

Paul : Oui, comptez sur moi.

Ruth : Ce sera tout. (A un de ses empoyés) Vous pouvez demandez à la sécurité d'appeler les gens de l'alarme ? Il y a eu un code erreur à la porte, ce matin.

Ruth rentre dans son bureau. L'homme est là avec une arme

Georges : Vous savez qui je suis ? Je vous demande, si vous savez qui je suis ?

Ruth : Oui, je sais.

Georges : Très bien.

Il s'approche d'elle et lui donne un sac

Georges : Alors jouez pas les malignes. Je veux 500 000 $ . Vous les remontez dans ce bureau. Je vérifie le compte et je suis dehors.

Ruth : D'accord.

Georges : Qu'est-ce que je viens de dire ?

Ruth : 500 000 $, je les remonte, vous vérifiez et vous êtes dehors.

Georges : Aucune piégé.

Ruth : Aucune liasse piégé. Je veux éviter toute éffusion de sang.

Georges : J'y tiens pas non plus. On es d'accord

Elle fait signe que oui

Georges : Allez on y va. Et vite.

Ils sortent du bureau.

Georges : Descendez.

Elle descend les escaliers tandis que lui reste à l'étage. Il se poste à une fenêtre pour la surveiller. Ruth est dans le hall.

Femme : Melle Skellar, je peux prendre les formulaires internationaux dans votre bureau ?

Ruth : (avec un sourire crispé) Non.

Femme : Non ? D'accord. Je vais demander à quelqu'un d'autre si vous ne voulez pas de moi là-haut.

Ruth regarde là où se trouve Georges.
 
Ruth : Personne ne doit monter. Danger.

Femme : (à Wendy) On braque. Dans le bureau de la directrice.

Wendy : (en criant) On braque la banque !

Elle enclenche l'alarme.

Les gens s'enfuient en courant. Georges barre le chemin à Ruth.

Georges : Personne ne bouge! Pas un geste! Imbécile! Qu'est-ce qui vous a pris ? Vous êtes contente ?

Il braque son arme sur ceux qui sont encore là. Ils se mettent à crier.

Georges : Fermez-la! C'est vous la patronne, c'est vous la directrice de l'agence, dites-leur de se calmer. (Aux employés) Bouclez-là, bon sang !

Ruth : Ecoutez, tout le monde se calme. Vous m'entendez ?

Mais rien n'y fait

Georges : Fermez-la !

Ruth : Calmez-vous.

Georges : Je tire dans le tas sinon ! C'est clair ?


Central : Equipe une, préparez-vous. Braquage à main armé en cours sur dans Young & Queen. Otages potentiels, un seul suspect, armé.

L'équipe arrive sur les lieux.

Greg : (au téléphone) C'est tout pour l'instant ? D'accord entendu.

Il raccroche. Ed est là, ils marchent ensemble.

Ed : On a une vidéo du bonhomme.

Greg : Non. D'après la société de sécurité, on serait entré tôt ce matin avec un code arrêt systéme. J'imagine que c'est notre gars.
Les réseaux audio et vidéo sont coupés.

Sam les rejoints

Ed : Et personne ne l'a vu en prenant la fuite ?

Greg : Tous disent qu'il porte un masque de snowboard.

Ed : Génial.

Sam : Quoi d'autre ?

Greg : Le mode identique au braqueur du lundi matin. Tu suis les infos ?

Sam : Le typeaux cinq braquages cettea nnée. C'est bien ça ? 

Greg : Six. On a un gros poisson dans notre filet. Un vrai pro. Il sait que les directeurs ne sont pas censé déclencher l'alarme et donner docilement l'argent.

Sam : On est tombé sur un directeur rebelle ?

Ed : Ouais. La dernière fois, deux guichetiers ont tentés de l'ouvrir et il les a dégommés sans sourciller.

Ils rejoignent Jules qui parle avec l'agnet de sécurité.

Jules : Et derrière le bâtiment des portes de services. Une autre issue à part l'entrée client ?

Agent de sécurité : Non, il n'y a que ces portes. Y a bien une issue de secours sur le côté là, mais c'est ... Ca donne dans le hall.

Ed : Et donc, il n'a pas moyen qu'on se faufile dedans sans qu'il nous voit.

Greg : Okay, okay. Vous trouvez comment on peut rentrer dans ce bâtiment imprenable moi je vais causer avec cet assassin en puissance.

Ed : C'est un peu raide comme résumé.

Greg : Sam avec Ed. Jules, tu es mon second.

Sam : Laissez-moi vous secondez, Sergent.

Jules : (ironique) Qu'est-ce qui te prends? On ne fait rien exploser dans le PC mobile, tu es au courant ?

Sam : (A Greg) Faut que je bosse le relationnel. (A Jules) A moins que ... les explosifs te fassent peur.

Jules : Non.

Greg : C'est d'accord, tu me suis. Ils s'éloignent.


Dans la banque, le téléphone sonne. Georges décroche.

Georges : Allo

Greg et Sam sont dans le camion.

Greg : Oui, ici le sergent Grégory Parker à la tête del'unité d'intervention d'élite. Est-ce que je m'adresse au braqueur ?

Georges : Vous vous adressez au type à qui vous allez remettre 1 million en coupure de 50 non marqués d'ici midi.

Sam : "Premier contact avec le sujet, 9h27".

Greg : N'inversons pas les rôles. c'est vous qui êtes dans une banque monsieur.

Georges : Ecoutez bien. Je ne suis pas ce que vous croyez. Je suis pas un pauvre toxico' en manque prêt à tout pour un fix. Vous savez comme moi, qu'à la seconde où l'alarme c'est déclenché, le coffre s'est mis en mode sécurité. La seule façon de l'ouvrir maintenant, c'est en insérant une carte, je ne vous apprend rien. Alors voilà le topo : Vous allez me donner ce que je demande. Vous allez me donner de l'argent et me fournir une fortune. Vous laisserez les portes ouvertes et vous la garer à l'angle nord-est de Young & Queen. Après quoi, vous me regarderez tranquillemn tailler la route avec mon otage. C'est clair ? Je veux tout ça d'ici midi. Dans le cas contraire, voilà ce qu'il arrivera. 

Il tend le téléphone à Ruth.

Georges : A vous de lui dire.

Ruth : Ici Ruth Skellar. Je suis la directrice de l'agence. Je vous en conjures, faites exactement ce qu'il vous demande ou il nous tuera tous.

Georges : Exactement, bon boulot.

Il prend le téléphone et l'éteint.


Lou s'approche de Ed.

Lou : Vous avez arrêtez un plan d'action ? Le type nous réclame un véhicule, on pourrai y coller un mouchard.

Ed : C'est une solution, mais bizarrement il la veut dans une des artères les plus fréquentés à cette heure. Je le vois bien prendre un employé comme bouclier, s'approcher au plus près de la voiture, descendre l'otage et filer avec cette foule et le métro pas loin. Il nous largue en deux minutes. Il est malin le type. Il faut le neutraliser avant.

Lou semble réfléchir.

Lou : Le métro...  Tu te souviens de Joe Sampson ?

Ed : Sampson, le roi du sous-sol ?

Lou : Il disait qu'il n'y avait rien de tel qu'une banque près d'une bouche de métro. Accès par le sous-sol, murs cassables. Ni vu, ni connu.

Ed : D'où est-ce que tu le connais Joe Sampson ?

Lou rit

Lou : J'écoute les anciens.


Dans le camion :

Greg : Il nous reste juste un peu plus de 2 heures. On fait quoi dans le cas d'une demande de rançon ?

Sam : On prévient la hiérarchie, on n'exige des concessions et on le contient.

Greg : Bien. Alors comment établir un lien avec ce gars-là ? Jamais tu feras entendre raison à quelqu'un si il sent que tu le comprends pas.Alors qu'est ce que tu comprends ?

Sam : Que c'est un braqueur de haut vol.

Greg : Tu prends ton boulot à coeur, lui aussi. Ca c'est un lien. D'accord ? Ce qui se joue dans la partie, Sam, c'est pas ta victoire, c'est pas sa défaite. C'est le sort des otages. Et Ruth Skellar est leur repérsentante.

Greg rappelle la banque

Georges : Vous avez l'argent ?

Greg : Ecoutez, j'ai fait part de vos exigeances à mes supérieurs. Mais ce qui attraye le mouvement à présent, c'est un gese de votre part.

Georges : C'est le moment où le preneur d'otages est censé en libérer quelques uns, c'est ça ? Comptez pas la dessus.

Greg : C'est un plaisir de négocier avec un professionnel. 6 braquages, 6 succès. A chaque fois, très bien préparé. C'est pour ça que vous travaillez seul ? C'est plus simple à préparer ?

Georges : Ouais, c'est plus simple. C'est ça.

Greg : Vous êtes seul encore, pas vrai ? Ca fait parti du plan ? Comme j'ai dit à mes gars : Vous foirez votre préparation, préparez vous a foirez !

Georges : C'est pas faux.

Greg : J'ai du respect pour ça mais combien de temps vous allez tenir ? J'imagine que vous savez comment ça finit généralement ? Et si on rentrait tous à la maison ?

Georges : Qu'est-ce que vous me racontez là ? Comme si c'était possible, comme si c'était pas trop tard.

Greg : C'est le dernier coup qui vous fait dire ça ? Vous avez tiré sur les deux guichetiers une quinzaine de fois ? Je me dis que ça à sacrément du déraper pour que vous en arriviez là, j'ai pas raison ?

Georges : C'est clair que c'était pas prévu au programme.

Greg : Ouais, ça vous ressemble pas beaucoup.

Georges : Je suis comme ça pourtant. Vous entendez ? Je suis comme ça quand on me donne pas ce que je veux. Alors, tâcher de ne pas l'oublier. Ce serait dommage.

Il raccroche

Greg : T'as noté le remord à propos de la tuerie ?

Sam : Ouais.

Greg : Ca colle pas avec le profil de l'antisocial habituel.

Il lui donne un papier

Greg : Regroupe ça avec la brigade des hold-up. Alors , Ed ? On a une entrée eventuelle dans le bâtiment ?

On voit Ed, Wordy, Spike et Lou entré dans le métro.

Ed : On essaye par le métro patron.


Dans la banque, Ruth se lève

Ruth : Excusez-moi.

Georges s'approche

Georges : Qu'est-ce que vous voulez ?

Ruth : Certaines personnes doivent aller au petit coin.

Georges : Et alors ?

Ruth : Et alors... J'ose croire que vous ne tenez pas à ce que ces gens souillent leurs vêtement assis sur le sol.

Georges : Vraiment ? Et pourquoi ça me génerait ?

Ruth : Parce qu'ils seront encore plus térrorisés et à cran. J'essaye seulement de faciliter les choses pour tout le monde...

Georges braque son arme sur le front de Ruth

Georges : Pour faciliter les choses, asseyez vous et fermez la. Assis !

Elle s'asseoit


Dans le sous-sol du métro

L'équipe avance

Ed : On progresse dans le tunnel sous la voie du métro. Jules soit prête à faire divertion.

Ils arrivent devant un mur.

Greg : Jules, où on en est ?

Jules : C'est quand vous voulez. Equipe 1 ?

Ed : On vérifie l'épaisseur du mur.


Dans la banque, le téléphone sonne de nouveau

Georges : Je vous ai dit midi.

Greg : On y travaille à l'heure où je vous parle. Là, je vous appelle seulement pour vous prévenir. Si comme vous l'avez fait, on court-circuite l'alarme, elle se renclanche toute seule. Alors, dans une petite minute, elle va à nouveau se déclencher et je ne veux surtout pas que vous paniquiez. D'accord ?  C'est tout ce que j'avais à dire.

Il raccroche


Spike pose un explosif sur le mur.

Spike : Abritez-vous !

L'équipe s'éloigne.

Spike : Jules tu es prête ?

Jules : J'attends votre signal.

Spike : 5, 4, 3, 2, 1...

Jules déclenche l'alarme au moment où le mur s'éffondre

Georges : On se calme !

L'équipe se faufile dans le sous-terrain

Ed : Ca y'est. On est sous l'agence.

Sam : (au téléphone) Merci pour l'info.

Il raccroche

Sam : Vous aviez raison.

Greg : C'est un plus petit poisson. A toute l'équipe, notre suspect n'est pas celui qu'on croyez. Le braqueur du lundi matin a exécuté les deux guichetiers d'une balle chacun. Par contre, la presse a parlé d'un bain de sang et de nombreux coups de feu. A aucun moment, notre suspect n'a contredit cette version faute d'en avoir une autre. On ignore toujours qui est notre gars.

Ed : On monte.


Dans la banque

Ruth : Excusez-moi

Georges : Quoi encore ?

Ruth : Cette femme fait une crise d'asthme. Il lui faut ses médicaments.

Georges : Et puis après ?

Ruth : Je fais de mon mieux pour que ces gens restent calmes. Est-ce que vous pouvez en dire autant ?

Il s'approche en la menaçant de son revolver.

Georges : Vous allez m'apprendre à braquer une banque pendant que vous y êtes ?

Ruth : Non ...

Georges : Allez-y ! Vous gênez pas ! Dîtes-moi comment ?

Il s'emporte et mais son bras autour de son cou en tenant son arme. Paul se lève

Paul : Calmez-vous s'il vous plait !

Georges : Assis-toi ! Asseyez-vous nom de dieu!

Paul : On se calme.

Georges tire trois coups en l'air

Ed : Le suspect passe à l'acion, Patron. On intervient. Wordy, grenades.

Ils rentrent dans la banque.

Ed : Police ! Police !

La "grenade" explose. Une fumée s'en échappe.

Wordy : Levez-vous. Dépéchez-vous !

Ed : Evacuez-moi vite tous ces gens.

Wordy : Allez, allez. On se dépêche, on sort. On se dépêche.

Ed va à côté. Il y a Georges et Ruth.

Ed : Il est là ! Il est là ! Posez votre arme à terre ! Posez votre arme à terre !

Georges : C'est toi qui va la poser.

Ed : Posez votre arme. Vous êes complétement cernés.

Georges : Vous allez tous foutre le camp de la banque.

Ed : Monsieur, posez immédiatement cette arme.

Georges : Dégagez ou je la descends. Je n'hésiterais pas.

Ed : On ne bougera pas d'ici.

Georges : Alors, elle est morte. 1...

Ruth : Je vous en supplie.

Georges : 2... 3...

Ed : Equipe 1, on sort. Le suspect détient un otage.

Wordy : Exécution.

Ils sortent de la banque.

Georges : Verrouillez la porte.

Elle s'abaisse pour la fermer à clé.

Georges : Magnez-vous ! Allez ! Allez ! Allez!

Ils montent à l'étage. Il la pousse contre le mur mais elle lui arrache le masque. Il enlève alors son bonnet.

Ruth : (horrifié) Georges !


Dans le camion

Sam : Spike a réussi à rebrancher la vidéo mais on a pas de son.

Il fait défiler les différentes vidéos sur l'ordinateur.

Greg : Là, on y est. Fait un arrêt sur image. Appelle l'agent de sécurité.

Sam : (au téléphone) Envoyez l'agent de sécurité s'il vous plait.

Greg : Regarde les tout les deux. Elle dévisage cet homme comme si il se connaissait.

Ed : Ouais.

L'agent de sécurité arrive

Greg : Regardez l'écran, il vous di quelque chose ce gars là

Agent de sécurié : C'est Georges

Ed : Qui c'est Georges ?

A.D.S : Georges Orston. Chef de sécurité de l'agence. C'était mon patron.

Greg : Il l'était jusqu'à quand ?

A.D.S : Il y a un peu près 2 mois maintenant. Avant qu'elle le vire.


Dehors

Lou donne un dossier à Greg qui sort du camion.

Sam : "10:58, dossier professionnel du suspect, livré par l'agent Lewis Young.

Greg : Il bosse pour la banque depuis 81. Chef de la sécurité depuis 10 ans. C'est pas un professionnel. Il faut changer de stratégie.

Sam : On la joue Stockholm ?

Ils arrivent à la hauteur de Luria

Greg : Docteur, merci d'être là. Un licensiésur les bras. Vous avez des conseils ?

Luria : Ah ! J'ai eu quatres cas identiques rien que le mois dernier. Okay, il faut vous attendre chez lui à une hyper émotivité, consommation de drogue , mettant en avant vos points communs, valoriser sa détresse émotionnelle.

Greg : Ca se comprend. Si je persais mon job, je serai pas content.

Ed : Ouais mais on perd d'avantage en lui révélant qu'on sait qui il est.

Greg : Oui mais j'y gagne en intimité. Je gagne un prénom.

Ed : Ouais mais on le calmera moins facilement quand il saura que les caméras l'observe. Trouvez une aure explication.

Greg : Ouais, c'est noté.

Ils s'éloignent en laissant le docteur à la voiture. Greg rejoint Wordy et Jules qui interrogent les employés.

Greg : Alors Jules, qu'est ce qu'on sait sur cette otage.

Jules : Melle Trailor, vous voulez bien répétez au sergent ce que vous venez de me dire.

Wendy : Ecoutez, ce quez Georges fait, je veux pas dire que c'est bien. Mais madame Skellar a debarqué il y a un peu plus d'un an.

Paul : Restructuration

Wendy : L'agence allé mal et elle nous a remis en selle. Mais pas mal de nombreuses personnes ont perdu leurs jobs. Et ceux qui l'ont gardé, n'ont quasiment plus de vie de famille.

Paul : Ma femme a accouché il y a une semaine. J'ai à peine eu le temps de voir mon bébé mais Skellar s'en fout royalement. Cette femme est une machine.

Wendy : A sa place, j'aimerai pas me retrouver seul avec un employé licencié et armé.


Dans le couloir, Ruth est assise tandis que Georges marche.

Ruth : S'il vous plaît, Georges.

Georges : Fermez-la ! Je ne veux pas entendre un mot sortir de votre bouche, même pas un son.


Ed, Sam et Greg

Ed : Le suspect a une bonne vue sur l'intérieur de l'agence depuis ce couloir. On rentrera pas en force deux fois.

Sam : Je reviens à mon idée sur le syndrome de Stockholm. Je cie le manuel : "Un suspect preneur d'otage qui obéit à une colère aveugle doit conduire le négociateur à ...

Greg : Humaniser l'otage aux yeux de son ravisseur, je connais le manuel par coeur. Mais dès que ce gars verra qu'on connait son nom, il se persuada que ses jours sont comptés. Il est entre quatre murs avec la responsable. Alors mon but c'est de lui faire penser à n'importe quoi, mais surtout pas à elle.

Ed : Patron

Sam : Je disais ça ...

Ed : Patron ! Quand ce gars-là sortira, les tireurs seront déja en facade. J'aimerais bien deux autres à l'est, juste au cas où un tir latéral s'imposerai. Mr Braddock et moi, en Sierra 1 et 2.

Greg : Accordé.

Il s'en va.


Le téléphone de Georges sonne, dans le camion Luria et Greg

Georges : Allo ?

Greg : Est-ce que je parle à Georges Orston ?

Georges se lève et regarde par la fenêtre.

Greg : J'en conclus que ça doit être ça. Un ancien collègue a reconnu votre voix, Georges. Est-ce qu'on peut se parler franchement ? Sachez que on est sacrément soulagés pour commencer. On pensait que vous étiez une ordure de première. Mais après avoir jeter un coup oeil à votre dossier, je vois que vous êtes seulement un type qu'on a préssés comme un citron et qu'il demande réparation. Je suis sur que vous ne voulez de mal à personne.

Georges : Je vais vous dire ce que je veux : Vous savez très bien ce que je veux, c'est exactement ce que j'ai demandé, plus tôt. La différence, c'est que je n'ai plus confiance.

Greg : Vous devriez avec moi Georges.

Georges : Fallait pas envoyer la cavalerie dans ce cas-là. Ca la fiche mal. Vous savez quoi ? J'allais vous accorder juste un peu moins d'une heure. Mais, maintenant, après votre coup ce sera plus qu'une demi-heure. Si je n'ai pas ce que je veux dans pile une demi-heure, je la descends, c'est clair ?

Luria : (A Greg) Ecartez Skellar de la conversation.

Greg : Georges, écoutez-moi. Je veux bien faire des efforts mais une demi-heure, c'esqt très peu de temps pour rassembler autant de cash.

Georges : Qu'est-ce que vous voulez que je fasse avec autant de cash ? Non, voilà ce que vous allez faire finalement : Vous allez virer cette somme ici, dans cete banque. Je vais vous donner un numéro de compte. Notez-le bien.

Luria note

Georges : Je ne le répéterai pas. 0-6... C'est quoi déja ? 9-8-1-0-9. D'accord ? J'emménerais madame la directrice tapotait sur un ordinateur et elle s'assura pour moi que l'argent est bien versé dans tout juste une demi-heure. Et si ça n'est pas le cas, je lui colle une balle dans la tête. C'est clair ? Et n'allez pas imaginer que je n'arriverai jamais à presser la détente. Ce sera très facile après ce qu'elle m'a fait subir.


Ed et Sam sont sur le toit.

Ed : Ca y'est patron , on arrive en position.

Greg : Bien reçu. Spike, trouve moi le titulaire du compte suivant : 0698109.

Spike : Ca marche.

Il reprend son téléphone.

Greg : D'accord, Georges, oublions un peu Skellar et dîtes-moi pourquoi vous retrouver là ?

Georges : Si je me retrouve là ? C'est précisement à cause de ce qu'elle m'a fait. Voilà pourquoi on est là.

Ruth : Ca n'avait rien de personnel.

Georges : Qu'est-ce qu'il y a ?

Greg : Georges, restez avec moi.

Georges : La ferme.

Greg : Soyez raisonnable, elle ne peut pas vous aider. Il n'y a que moi qui peut vous donnez ce que vous voulez.

Georges : Non, je veux qu'elle m'explique au contraire. Ca ça m'interresse. Je veux qu'elle m'explique en face comment 20 ans de la vie d'un homme ne valent plus qu'une misère à l'arrivée. Expliquez-moi comment on peu exiger le meilleur d'un homme pendant toute sa vie et le virer du jour au lendemain. En lui faisant un chèque qui correspond à une ridicule semaine de salaire pour chaque année de boulot. Non mais, je fais quoi avec une forutne pareille ? Je me paye une bagnole ? C'est ça au bout du compte ? (A Ruth) Vous voulez bien me dire, comment vous faites vos petits calculs, pour arriver à ce genre de somme ?

Ruth : Ce sont les indémniés habituelles, Georges. Ca n'avait rien de personnel.

Georges : Alors là, ça mérite un oscar. Ca n'avait rien de personnel qu'elle vien de dire. Rien de personnel;

Greg : Enfin Georges. Vous vous doutez que c'était aussi dur pour elle que pour vous.

Georges : Ca m'étonnerait franchement.

Greg : Ruth a travaillé conscienceusement toute sa vie. Elle vit pour son boulot. Tout comme vous. Vous aimez votre boulot, n'est-ce pas, Georges ?

Georges : Je raccroche.

Il le fait. Il se lève et regarde par la fenêtre.

Georges : Ca s'annonce pas très bien pour vous, madame la directrice.


Dehors, Jules interroge l'agent de sécurité.

A.G.S : Avec Georges, je dirai peut-être pas copains. L'homme ést plutôt solitaire, c'était un bon chef. Toujours le petit mot qui fallait. Un type réglo, c'est clair.

Jules : Il vous a déjà parler de sa famille ?

A.G.S : Seulement Mary.

Jules : C'est qui Mary ?

A.G.S : Sa femme. C'est pour ça que ça me dépasse. Le jour où on l'a viré, tout ce qu'il a dit c'est : "Maintenant, je pourrais passer plus de temps avec Mary". D'après ce que je sais, ils n'avaient pas de gosses. Et lui, il vivait que pour elle.

Jules : Vous l'avez rencontrée ?

A.G.S : Bien sur. Je me souviens, elle passait souvent déjeuner avec lui ... Pas récemment mais ...

Jules : Quoi ? Depuis son renvoi ?

A.G.S : Non, elle venait plus depuis une bonne année, déjà. Mais avant ça, ouais, tout le temps.

Jules : D'accord, merci.

A.G.S : Pas de quoi.

Elle s'éloigne et passe près de Spike qui est sur un ordinateur avec Wendy à ses côtés.

Wendy : Comment vous êtes entrés là ?

Spike : Je suis un vrai génie. La banque m'a fourni les codes d'accès. Allez, votre mot de passe et on y est.

Wendy : "Reine de la nuit" attaché sans espace.

Spike la regarde en riant

Wendy : (amusé) Quoi ?

Spike : C'est quel genre de compte ?

Wendy : Ca tout l'air d'un compte en banquaire standard. Dépôt, retrait, rien d'anormal. Et c'est au nom de ... là. "Saint Ignatius, établissemen agrée. Allez savoir ce que c'est.


Dans le camion, Greg est en communication avec Georges.

Greg : Vous avez monté votre coup, en regardant des vidéos des hold-up ?

Georges : Exactement. Toutes les banque nous les donnent. Ils veulent qu'on voit la méhode de chaque braqueur, alors moi de mon côté, j'ai pris des notes.

Greg : Vous êtes un bon étudiant.

Georges : Merci.

Greg : Georges, vous voulez qu'on fasse passez un message à quelqu'un, à une connaissance ?

Georges : C'est bon, je vous vois venir. On perd déjà assez de temps comme ça. Il nous reste un peu moins de 20 minutes, alors faîtes le virement.

Greg : On sait, on y travaille, alors, essayer de garder votre calme.

Georges : Pour vous c'es facile à dire. Vous avez une vie à reprendre à la fin de cette histoire. Qu'est-ce que j'ai moi ?

Greg : Ca c'est encore flou. Vous m'avez pas raconter grands choses vous concernant ?

Georges : Qu'est-ce qu'il y a à dire ? Et ça intéresse qui de toute façon ? L'autre là, assise à côté de moi, vous croyez que ça l'intéresse ?

Luria : Le compte est celui d'une maison de repos dans le centre. On y gagnerait du temps si j'y vais directement en personne.

Greg : (en murmurant à Luria) Foncez !

Elle s'en va

Georges : Vous savez ce que les gens comme elle pense des gens comme moi ?

Greg : Oh, là, ça commence réelemen à froler l'obsession. Parlez moi de vous, Georges. Moi ça m'intéresse.

Georges : Je suis un poste de dépense dans un budget. Ni plus, ni moins. Je suis Georges Orston, 47 000 $ par annuel, plus mutuelle et retraites. Mais attendez une minute, pourquoi on vous embête ? On n'a qu'à embaucher un jeune, le payer à moitié, le tout sans mutuelle et en le prenant à mi-temps. Hé, ou sont les contrats ? Faîtes vite le temps c'est de l'argent.

Ruth : Vous pensez que j'aime ça? Licencier des employés, que j'y trouve du plaisir ?

Georges : Ouais.

Greg : Georges, oubliez là; elle ne peut rien pour vous. Restez avec moi. Je suis le seul à être capable de vous aider.

Ruth : Oui, ça va de soit. J'avais oubliée. Je suis la méchante taulière, la patronne sans coeur. Oh, vous croyez que les surnoms m'échappent ? Que je n'entends pas chuchoter derrière mon dos ? Je suis toujours la première arrivée et la dernière partie. Alors je suis au courant.

Georges : Tant mieux.

Ruth : Il y a un peu plus d'un an, ils voulaient fermer cette agence, Georges. Et 62 personnes étaitent censés perdre leur job. 62 ! Ils m'ont parachuté et j'ai mis la pression à tout le monde, c'est vrai. Et j'ai travaillé dur et sans relâche comme jamais auparavant. Et le résultat ... C'est que ça n'a pas suffit. Rien à faire. 7 employés étaient encore de trop. C'était le chiffre officiel. Plus 62. 7. Et je suis désolée si vous avez été l'un de ceux-là. Sincèrement, Georges.

Greg : Georges, vous m'entendez. On pourra en parler tant que vous voudrez.

Georges : Non, on arrête la causette maintenant.

Il raccroche

Georges : Je ne veux plus rien entendre.

Il se lève.

Greg : (pour lui même) Où tu vas, Georges ? Où tu vas comme ça ? Tu veux bien me dire ce que tu fais là ?

Georges revient près de Ruth et tire du scotch.

Georges : Tendez les mains. Paume contre paume.

Il lui met du scoch autour de ses poignets de manière à ce qu'elle ne puisse plus bouger les mains.

Greg : Fais pas ça, Georges. Equipe 1, soyez près à passer à l'action.

Ed : Qu'est ce qu'il se passe, chef ?

Greg : Tenez-vous prêts.

Georges : Avancez la tête.

Il lui baillone la bouche.

Greg : Il baillone l'otage. Il lui retire toute humanité pour la tuer plus facilement à l'heure venue. (Plus bas) Fais pas ça , Georges. Je t'en prie.


Sur le toit, Ed laisse sa place à Sam au sniper.

Ed : Le vent est de force 1

Sam : Plutôt 3 maintenant. Le drapeau en bas à l'entrée du parc.

Ed : Oh ! Joli.

Sam : Merci, monsieur.

Ed : Y a un problème, Braddock ?

Sam : J'avais raison au sujet de la procédure à suivre ?

Ed : Ca c'est à l'officier négociaeur dans décider.

Sam : Mais j'avais raison. Le manuel est très clair.

Ed : Et c'est le patron qui a pondu ce manuel. C'est dur de pas être au top de ce qu'on fait, hein ?

Sam : J'y travaille.

Ed : Il suffit pas de suivre à la lettre des instructions. Il faut apprendre à être en permanence ...

Sam : Je suis au courant. Etre à l'écoute, le Sergent le dit chaque fois.

Ed : Alors pourquoi tu l'appliques pas ?


Le téléphone de Greg sonne

Greg : Parker.

Luria : Ici Luria.

Greg : Vous êtes à la maison de repos ?

Luria : La femme de Georges est inteinte d'Alzheimer.

Greg : Génial.

Luria : Diagnostiquer il y a 6 mois maintenant et la détérioration est d'autant plus rapide quand le patient malade est jeune. Elle est à un stade avancé. Et là dessus, vient se greffer un autre problème. On va la renvoyer. Elle n'a pas de quoi payer.

Greg : Merci, docteur.

Il raccroche. On voit Luria s'apprcoher de Mary, qui et en fauteuil roulant, et lui sourire. Greg rappelle Georges.

Georges : Alors, ça vient ce virement ?

Greg : Il y a deux personnes dans cette histoire : La première s'appelle Georges Orston. Le genre travailleur, qui n'a jamais fait un pas de travers. Marié depuis 25 ans à la deuxième personne : Mary Orston. Coiffeuse de profession ou ex-coiffeuse plutôt. Et pas au mieux de sa forme à l'heure qu'il est. Il se peut même qu'elle perd toute autonomie d'ici quelques années. Et le type d'établissement recommandé est pas bon marché. J'ai bien résumé la situation ?

Georges : De vous à moi, Parker. Vous trouvez ça juste ?

Greg : Non.

Georges : Non.

Greg : Non, ça ne l'est pas. Je suis d'accord. Ce n'est pas juste que vous perdez votre boulot et votre assurance un mois après avoir trouvé une maison de repos. Vous bossez dur toute votre vie, et une saleté comme Alzheimer vous tombe dessus. Résultat, la personne que vous aimez ne se souvient même plus de votre nom, alors effectivement ce n'est pas juste.

Georges : Non.

Greg : Est-ce que vous faites là ne l'est pas non plus et vous en êtes conscient.

Georges : Vous avez raison. J'ai essayé, Parker. J'ai essayé de décrocher un autre job , n'importe lequel. Pas moyen de trouver quelque chose. J'ai bien pensé faire un emprunt mais on va me répondre quoi à mon âge ? Comme si c'était facile aujourd'hui de trouver du boulot. Et puis, soyons réalise en même temps. Jamais j'aurais le temps de rembourser ces débiles. Okay, c'est régler. J'ai gamberger ça mille fois. J'ai pas d'autre choix.

Greg : Je suis sur que vous vous senez très seul en ce moment, Georges, mais...

Georges : Être seul, ça me dérange pas. Savez vous ce qui me fait peur ? C'est que ma femme soit renvoyé de cete maison et que je ne puisse plus être en mesure de prendre soin d'elle comme il faut. Ca ça me fait vraiment peur. Parce que cete femme là ... Vous comprenez, elle c'est toujours occupé de moi. Alors, c'est la moindre des choses... Il fau que je fasse le nécéssaire. Je ... J'essaye seulement de me montrer correct.

Greg : Y a personne au monde qui comprendrai pas ça. Je parie que même la famille de Rutth comprendrait.

Georges : OK. Parker voilà ce qu'on va faire. Laissez-moi parler à ma femme. Mais ... Et j'arrêterais les frais. Ce sera terminé.

Greg : Qu'est ce que ça veut dire exactement, Georges ?

Georges : Ca veut dire passer là moi, je sortirai et j'emménerai madame Skellar avec moi, d'accord ? Laissez-moi parler à ma femme.

Greg : Je m'en occupe. Restez en ligne.


Il appelle Luria

Luria : Luria.

Greg : Docteur, il conscent à quitter l'agence si il parle à sa femme. Si je lui arrange le coup, à mon avis, il se donnera la mort. Et si jamais je refuse, il dévissera et on risque de perdre l'otage.

Luria : Sacré choix.

Greg : Passez-lui le téléphone.

Luria : D'accord.

Elle donne le téléphone à Mary

Luria : Tenez Mary.

Greg de son côté rappelle Georges

Greg : Elle vous entend.

Georges : Mary ?

Mary : Allô ?

Georges : C'est moi. C'est Georges. Alors, commen tu vas princesse ?

Mary : Où es-tu ?

Georges : Je suis pas loin du tout. Je suis vraiment à deux pas. Dit-moi comment tu vas, ça a été ta journée ?

Ruth pleure

Mary : Oui je crois que ça a été. Georges ?

Georges : Oui ?

Mary : Est-ce que j'ai commis une faute ?

Georges : Qu'est ce que tu dis ? Comment ça une faute ?

Mary : C'est juste... que t'es pas là. Est-ce que j'ai fait une bêtise pour que tu t'en ailles ? C'est pour ça que je me retrouve seule ?

Georges : Mary Orston, j'aimerais qu'on s'entende une bonne fois. Si j'ai pu réussir une ou deux petites choses dans ma vie, c'est uniquement grâce à toi. Est-ce que c'est clair ? Ecoute Mary. Je tenais à ce que tu saches, que je suis vraimen désolé.

Mary : Pourquoi ?

Georges : Il faut que je raccroche maintenant.

Mary : Si tu veux.

Georges : Ouais.

Mary : Je t'aime fort, Georges.

Il pleure

Georges : Moi aussi, princesse.

Il raccroche et s'approche de Ruth.

Georges : Faîes moi voir vos mains.

Avec un couteau, il coupe le scotch. Elle enlève celui qui est à sa bouche

Georges : Doucement.

Il l'aide à se relever

Georges : Ca va, allez vous-en ! Vous m'entendez, sortez ! Allez, du vent !

Ruth :  Et vous, qu'allez-vous faire ?

Georges : Allez vous-en ! Ca me regarde.

Ruth : Il n'est pas question que je sorte sans vous, Georges .

Il essuye ses larmes

Georges : C'est quoi ces histoires ? Pourquoi ?

Ruth : Parce que je n'avais rien fait jusqu'à présent.

Georges : Quoi ?

Ruth : Et aujourd'hui, je peux vous aider. Je suis certaine qu'on peut s'asseoir à une table et trouver une solution pour votre femme.

Georges : Mais c'est pas croyable. "Trouvez une solution pour votre femme." Il n'y en à aucune, figurez-vous. J'ai tout essayé, il n'y a pas d'issue possible.

Ruth : Il y en a forcément une, au contraire. Peut-être des versements anticipés de votre pension avec votre assurance ou on verra ce qu'on peut faire.

Geroges : C'est très gentil, ça. Vous le pensez ?

Ruth : Oui.

Georges : D'accord. Merci.

Il remet sa cagoule

Ruth : Pourquoi vous faites ça ?

Georges : Pourquoi je fais ça ? Je ne veux pas que Mary me voit sortir.

Il met son masque de snowboard  

 

Greg sort du camion en courant

 

Ruth et Georges marchent dans le couloir

Georges : Gardez les mains en l'air devant l'agence, d'accord ?

Ruth : D'accord.

 

Greg court pour rejoindre la banque.

Greg : Équipe 1. Sierra 1. Je crois qu'il va sorir, soyez prêts.

Ed : Excellent. Félicitations.

Greg : Négatif. C'est pas bon. Il a fait ses adieux à safemme, il a remis son masque. Il est toujours armé, est-ce que c'est compris ? Perte de l'être aimé, caché derrière un masque. Il va chercher la confrontation, nous forcer à le tuer. Suicide par Police interposé. (A l'équipe) Ne tirez pas !

Il arrive où il y a l'équipe

Greg : Sierra 1, attendez mon scorpio.

Sam : Sierra 1, bien reçu.


On voit l'équipe attendre que Georges sortent de la banque

Sam : Est-ce que j'ai votre scorpion, si le gars sort de la banque en tirant ?

Ed : On laiise le Sergent, il a encore une chance de raisonner le suspect.

Sam : Et si il foire ?

Ed : On fera notre boulot.


Georges et Ruth sortent de la banque

Georges : Les mains bien en l'air. Plus haut encore, plus haut !

Ed : Le voilà. Tiens-toi prêt.

Georges : Vous allez vous coucher et ne pas bouger. Ils vont me descendre alors rester à terre !

Ruth : Non !

Georges : Couchez-vous !

Ruth : Non !

Georges : Couchez-vous

Il la force à se coucher. Greg s'avance

Greg : Arrêtez, Georges ! Faites pas ça ! (A l'équipe) Ne tirez pas, ne tirez pas !

Sam : Je l'ai dans le viseur.

Ed : On attends.

Greg : Georges, je suis pas d'accord. Vousu voulez nous forcer à faire quelque chose qui nous répugne. (A l'équipe) Ne tirez pas, c'est pas un tueur. Personne ne tire, ok? (A Georges) Non, je refuse Georges ! Je vous donnerai pas ce que vous voulez. Posez cette arme. S'il vous plaît, Georges.

Georges pointe son arme sur Greg

Ed : Tue-le !
 
Greg : Non !

Mais c'est trop tard, Sam a tiré. Ruth pleure. Puis elle est emmenée dans une voiture de police. Sam lui est emmené pour la procédure. Greg va devant la banque où se trouve toujours le corps de Georges. Il lui ferme les yeux. 


Ruth rend visite à Mary

Ruth : Mary, je ne... Je ne connaissais pas bien Georges. Pas aussi bien que j'aurais pu en tout cas. Mais je sais en revanche qu'il vous aimez profondément. Et sachez qu'il a fait en sorte qu'on subvienne à tout vos besoins. Aussi longtemps qu'il le faudra. Ca s'était très important à ses yeux.

Mary se penche vers elle

Mary : Pourquoi vous êtes triste comme ça ? C'est une magnifique journée.

Ruth : Oui c'est vrai.


Dans les vestiaires des hommes.

Ed : Tu t'en es sorti comment ?

Sam : Aucune idée. J'ai jamais répondu à autant de questions.

Ed : C'est la procédure. Luria t'as expliqué l'enjeu ?

Wordy les rejoints.

Sam : Ouais, l'assurance du gars ne joue pas en cas de suicide, mais ils payeront s'il est établi qu'on la dégomner. Sympa. Vous avez vu Parker ?

Ed : Je ne sais pas où il est. Bon, on va se changer. On va boire un verre. Tu l'as bien mérité. Allez ramène-toi.

 

Greg est en train de faire son rapport dans la salle de débriefing, Sam arrive

Sam : Sergent ?

Greg : Tu t'en remets ?

Sam : Oui. Et vous ?

Greg : Bien sur.

Sam : Vraiment ?

Greg : Non. Non.

Sam regarde la table

Sam : Le rapport ?

Greg : Ouais. J'essaye de savoir à quel moment j'ai perdu le contact.

Sam : A aucun instant.

Greg : Pourtant le gars est mort.

Sam : Vous avez sauvez Skellar par contre. Vous voulez un point de vue extérieur ?

Greg : Non, non... ça va aller. Merci.

Sam : Bon.

Sam commence à s'éloigner

Greg : Enfin, en même temps, si tu fais rien...

Sam s'asseoit

Greg : Premier contact établi avec le suspect à 9h27.

Kikavu ?

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chrismaz66, 15.04.2024 à 11:46

Oui cliquez;-) et venez jouer à l'animation Kaamelott qui démarre là maintenant et ce jusqu'à la fin du mois ! Bonne chance à tous ^^

Supersympa, 16.04.2024 à 14:31

Bonjour à tous ! Nouveau survivor sur le quartier Person of Interest ayant pour thème l'équipe de Washington (saison 5) de la Machine.

choup37, Avant-hier à 08:49

5 participants prennent part actuellement à la chasse aux gobelins sur doctor who, y aura-t-il un sixième?

chrismaz66, Avant-hier à 11:04

Choup tu as 3 joueurs de plus que moi!! Kaamelott est en animation, 3 jeux, venez tenter le coup, c'est gratis! Bonne journée ^^

choup37, Hier à 19:45

Maintenant j'en ai plus que deux, je joue aussi sur kaa

Viens chatter !