Dans une salle d'opération, un homme tient en otage le personnel médical et un patient. Il tient une arme.
Jack : Je vous ai dit de ne pas m'approcher.
Greg : Jack, ne faites pas ça.
Jack : Je vous ai dit de rester dehors !
Greg : Jack, regardez cet homme. Regardez-le.
Il regarde le malade
Greg : Il s'appelle...
Wordy : William.
Greg : Wiliam. Jack... Vous n'êtes pas obligé de faire ça.
Jack : Si il le faut ! Il le faut !
2 heures avant : Jack est dans la chambre de sa fille malade, Phoebe, qui est allongée sur un lit. Il se verse un verre.
Jack : Ils nous proposent de nous prêer leur maison de campagne pour deux semaines. Je crois qu'ils repartent faire un périple du côté de l'est. Alors si en contre-partie, je peux leur refaire l'éléctricité du hangar à bateaux. Eh bien, je me dis...
Il s'asseoit sur une chaise près du lit de sa fille
Jack : Que c'est plutôt un bon plan. J'ai un truc à te montrer
Il se lève et prends un jouet. Il se rasseoit
Jack : Je suis tomber là-dessus en rangeant le garage l'autre jour. J'arrive plus à me remémorer comment on appellé ce truc-là.
Phoebe : Un piège à perche.
Jack : Le piège à perche, bien sûr ! Comment j'ai pu oublier.
Phoebe : Tu t'en souvenais ?
Jack : Tu avais sorti un bestiot de trois kilos du lac.
Phoebe : Un kilo et encore.
Jack : Un kilo, qu'est-ce que tu racontes ? Deux kilo cinq minimum. Qui a meilleur mémoire, moi ou toi qui n'avait que six ans ?
La fillette s'endort. Le père entend un objet vibré. IL regarde et un bipper tombe à terre.
Jack : Ruby ! Ruby !
Au SRU,
Greg : Bonjour Sally.
Il porte une chemise rose
Sally : Nouvelle chemise ?
Greg : Tu aimes ?
Sally : Pas courant le rose.
Il signe un papier
Greg : Quand tu commande sur Internet, il faut aimer le risque.
Jules arrive
Jules : Bonjour, Sergent.
Greg : Salut, Jules.
Jules : On s'apprête à tester le nouveau. Vous venez voir ?
Greg : Ouais. Cinq minutes, j'arrive.
Dans la salle de contrôle, Jules charge une arme
Jules : Dix balles, dix cibles. T'en rate une, t'es mort.
Sam : Je rate jamais.
Jules : Le programme du jour est signé Bob le bricoleur.
Sam : C'est de la 3D votre simulation ?
Jules : Rien n'est trop beau pour ces messieurs dames de l'unité.
Elle ouvre une porte, Sam rentre dans le couloir
Sam : Balles réelles, c'est ça ?
Jules : Toujours. Elle prend du matériel qu'elle donne à Sam puis elle referme la porte. Greg arrive
Jules : Il est dedans !
Greg : Amusons-nous!
Une cible apparaît, Sam tire dessus
Le reste de l'équipe arrive
Lou : La fête a commencé ?
Jules : J'allais lancer le programme.
Il tire sur une autre cible. Ed arrive
Spike : Classe la coupe de cheveux. Un vrai pro de la gâchette.
Il tire sur d'autres cibles.
Greg : Pas mal.
Ed : Le méchant.
Sam tire sur lui.
Ed : La grand-mère.
La grand-mère apparait. Sam ne lui tire pas dessus.
Wordy : (amusé) Espérons que personne n'éteint la lumière. Ce serait vraiment pas sympa.
Jules éteint la lumière. Sam s'équipe du matériel que Jules lui a donné. Ils tirent sur plusieurs cibles sans en loupé une.
Spike : (impréssionné) C'est qui assure !
La lumière se ralllume.
Sam : Ah !
Une cible apparaît dans son dos. Il se retourne et ne la manque pas.
Sam : Trop cool, qu'est-ce que tu as d'autre.
Chez Jack, il prépare des affaires.
Jack : (A Phoebe) Tu es prête ? (A Ruby) Il va nous falloir une valise.
Ruby : On l'avait vidé.
Jack : Refaites là ! Et rejoignez nous là-bas.
Ruby : (A Phoebe) Tiens ça trésor.
Elle lui met un masque à oxygène
Ruby : (A Jack) On attend l'ambulance ?
Jack : Non, on a pas le temps.
Il porte Phoebe
Jack : Il leur faut une demi-heure pour arriver. Non merci. Allez en route ! En route, en route !
Dans sa voiture, sur l'autoroute
Jack : Ça va, Phoebe ? Tu as assez d'oxygène ? Attends, je vérifie le débit.
Il regarde
Jack : Ca va.
Il grille un feu rouge et manque de provoquer un accident
Jack : Tout va bien se passer. Deamin, à cette heure là, tu seras comme neuve !
Une voiture de Police apparaît derrière lui avec la sirène
Jack : Oh, non, non, non, non, non, non !
Il se met sur le côté. Alors que le policier reçoit un appel, il descend de voiture
Jack : Monsieur l'agent ...
Agent : Remontez dans votre voiture !
Jack : Je suis désolé, là y a urgence.
Agent : Remontez dans la voiture !
Jack : Ma fille...
Agent : Monsieur !
Jack : Ma fille doi se rendre ... Vous allez m'écoutez !
Agent : Monsieur ! Les mains sur le coffre !
Il obéit
Jack : Ca va, ça va. Je suis désolé, je sais que je suis dans mon tort mais il fau absolument qu'on se rende à l'Hopital Saint Simon. Ils ont un coeur. Ils ont un nouveau coeur pour ma fille. S'il vous plait. Je vous en prie.
L'agent regarde par la fenêtre et voit Phoebe.
Agent : Ok, monsieur vous allez me suivre. Et rester bien à droite de mon pare-choc !
Jack : D'accord.
Ils remontent dans leur voiture respective et se rendent à l'hopitâl.
Dans le hall
Heather : Phoebe ? Est-ce que tout va bien ?
Jack : Oui, on vient de nous bipper.
Heather : Oh, mais c'est merveilleux !
Jack : Merci
Ils asseoient Phoebe sur une chaise roulante
Heather : En voilà un soulagement. (A l'infirmier) Aux urgences cardiologies, très vite.
Jack : (Au policier) Merci ! Merci encore !
Ils s'éloignent
Agent : Foncez !
Heather : Je vous rejoints tout de suite.
Elle prend le téléphone
Heather : C'est Heather, Phoebe vient d'arriver. Phoebe Swanson. C'est pour elle le coeur. Comment ça ? Attends tu plaisantes ?
Aux urgences, Jack regarde la télé. C'est une course de voiture
Jack : Ouah, tu as vu ça ?
Un homme arrive
Krupchik : Mr. Swanson, je peux vous dire un mot ?
Jack : Oui. Oui.
Il se lève
Jack : Tu bouges pas de là, hein ?
Il rejoint le directeur qui est à quelques pas de là
Krupchik : Mr Swanson, j'ai peur que nous ayons eu un problème de communication.
Jack : Un problème ?
Krupchik : La coordinatrice des greffes du coeur ... La liste des receuveurs a été mise à jour et on ne la pas informé à temps. Je sais que c'est pénible. Mais le fait est qu'un autre patient est aujourd'hui prioritaire.
On voit le patient passé pour aller au bloc
Jack : Vous ... vous me raconter quoi là ?
Krupchik : Je suis vraiment navré Mr Swanson mais le prochain coeur ira pour Phoebe.
Jack : Uh, peut être que vous ne le savez pas, mais... Phoebe a été sur liste d'attente depuis 14 mois.
Krupchik : Je suis sincèrement navré.
Jack : Elle est en haut de la liste. Elle l'a été pendant un mois
Krupchik : Ce n'est pas un comptoir d'épicerie, Mr Swanson.
Jack : Oh, Heather, pouvez-vous lui expliquer s'il vous plait ? Écoutez, elle est déjà venue la semaine dernière. Elle était préparée et tout, mais le coeur a été endommagé. Savez-vous à quoi cela ressemble ?
Krupchik : Considérant le temps du trajet de l'organe.. La fenêtre de survie est plus courte.
Jack : Et, alors pourquoi on est encore là ?
Krupchik : Dans cette situation, l'ordinateur choisit le destinataire le plus près de l'hôpital.
Jack : Ecoutez, la seule raison pour laquelle nous étions à la maison est parce que l'hôpital nous a dit de rentrer pour nous préparer à lui dire au revoir. Votre ordinateur vous l'a dit ça ?
Krupchik : Mr. Swanson !
Jack : Et maintenant vous me dites que si nous étions restés...
Krupchik : Je vous dis que vous n'auriez pas du être bipés aujourd'hui.
Jack : Je m'en fous, c'est ma fille. C'est ma fille !
Krupchik : Mr. Swanson, calmez-vous, s'il vous plait.
Jack : Non, non, non, je suis vraiment désolé, je suis vraiment désolé, mais je m'en fous ! Vous n'êtes... pas moyen que...
Agent de sécurité : Monsieur, je dois vous demander de baisser d'un ton.
Krupchik : Je suis désolé, Mr Swanson.
Jack : Ok. Ok.
Krupchik : Merci.
Phoebe : Papa.
Jack prend l'arme du policier qui était resté
Jack : Ok. Ok. Je suis désolé ! Je suis désolé. Je suis désolé. Ce coeur appartient à Phoebe!
Au SRU
Central : Equipe 1, appel de dernière minute ! Préparez-vous, préparez-vous !
Ed : Lunettes ?
Jules : Ok.
Wordy : Boucliers ?
Lou : Ok.
Ed : Télémètres ?
Jules : Ok.
Wordy : Béliers ?
Lou : Ok.
Wordy : Matraques, spray au poivre, lacrymo ?
Lou : Ok, ok, ok.
Jules : Rammy ?
Wordy : Ok
Il se met du stick sur les lèvres
Ed : Stick pour les lèvres ?
Wordy : Ok.
Sam regarde la scène
Ed : Et la bleusaille ?
Wordy : Ok. (Il va le chercher et le fait monter dans la voiture) Allez.
Greg : Allons rétablir l'ordre
A l'hôpital
Jack : Ok, nous allons nous en occuper tout de suite ! Le type qui était juste ici, hein, où est-il ? Heather, pourriez-vous vous en occuper pour moi ?
Heather : OK, Jack, pas de problème.
Elle prend l'interphone
Heather : Mr. Krupchik, au CICU, immediatement. Mr. Krupchik, au CICU, s'il vous plait.
Dans les voitures
Central : 10-31, un possible 10-66. Standby pour mise à jour, terminé.
Greg : Bien reçu. On a des multiples 911. Rapports de précision habituels : c'est deux types avec une arme à feu et un type avec une bombe.
Ed : Des civils ?
Greg : Chirurgiens, infirmières, personnel, patients.
Ed : Une identité ?
A l'hopitâl
Jack : Encore, s'il vous plait.
Krupchik se lève. Il était caché
Krupchik : Je suis là. Juste là.
Jack : Parfait
Heather : Jack, s'il vous plait, je suis désolée,...
Jack : Personne ne bouge ! D'accord ? C'est le coeur de Phoebe et vous allez le faire venir.
Krupchik : Je peux pas juste... Ce n'est pas aussi simple.
Jack : Je m'en contre fous que ce n'est pas si simple, faites-le juste venir.
Krupchik : Je peux pas. Je vous le jure, Mr Swanson. Je peux pas.
Jack : Ok. D'accord. D'accord. Personne ne bouge !
Il sort de la salle d'attente et rentre dans le bloc opératoire où les médecins s'apprêtent à endormir le patient qui doit recevoir le coeur
Jack : Ok, très bien, arrêtez ce que vous êtes en train de faire.. Vous avez le mauvais patient.
L'équipe est toujours sur la route
Ed : Mettons le poste de commandement sur le site.
Greg : Reçu. Jules, tu seras mon second, si nécessaire.
Jules : Ok.
Ed : Wordy, couvre le patron. Spike, les lignes de communications, des explosifs, si on en a besoin.
Spike : Bien recu ! Une bombe, pitié une une bombe. Je n'y ai jamais droit. L'entrée explosive, au moins, ça ça m'irait.
Ed : Lou,arme non-léthale. C'est un hôpital, alors pas de lacrymo.
Lou : Non-léthale ?
Spike rigole
Ed : Mr Braddock, vous devez observer depuis le poste de commandement.
Sam : Observer ?
Greg : Le travail c'est pas d'être un bon tireur. Le travail c'est sauver des vies.
Ils arrivent sur les lieux. Ils prennent leurs matériels. L'agent de police qui accompagnait les Swanson les rejoints
Policier : Sergent Parker ?
Greg : Exact.
Policier : Les plans viennent d'arriver.
Greg : Bien. Un seul suspect ?
Policier : Homme, blanc.
Greg : Où il est ?
Policier : (lui montrant le plan) Ici. Troisième étage, soins intensifs cardiologie.
Ed : Les ascenceurs immobilisés ?
Policier : On est dessus.
Ed : Gardez ce périmètre extérieur sous contrôle. Notre type porte autre chose ?
Policier : Autre chose ?
Ed : En plus de votre arme de protection.
Policier : C'est vrai, désolé. Je ne pense pas.
Greg : Des otages ?
Policier : L'équipe de chirurgie, le destinataire du coeur. Il y a des patients critiques dans les chambres ... La fille du gars.
Greg : La fille du gars ?
Ed : Installons le poste de commandement dans la pièce de sécurité. Wordy, Lou, faites une reconnaissance.
Ils rentrent dans une pièce où se trouvent les agents de sécurité
Ed : Bonjour, messieurs. SRU. Nous avons besoin d'un poste de commandement ici, tout de suite.
Homme : Pas deporblème
Ed : Merci.
Spike : Il déplace le patient dans la salle d'attente.
Greg : Nous avons besoin de savoir ce qu'il dit.
Spike : Je vais inverser les lignes téléphonique.
Ed prend le téléphone
Ed : A partir de maintenant, c'est le PC de l'équipe. Faîtes le tri des appels
Jules : (au rapport) Incident critique : otages multiples Hôpital St Simon, 11h01.
Greg : Nous sommes là depuis cinq minutes. On a pas encore de nom ?
Spike : Jack Swanson.
Il est revenu avec Heather
Spike : C'est Heather, l'infirmière.
Jules : (au téléphone) On a besoin de l'adresse de Jack Swanson, S-W-A-N-S-O-N, et des unités détectives pour cuisiner le voisinage.
Greg : Sa fille est une patiente
Heather : Phoebe. Elle a eu le droit de passer ses derniers jours chez elle. Et elle a perdu sa place dans la liste pour recevoir une greffe de coeur.
Greg : Il traverse une mauvaise passe les gars. Et où est le coeur ?
Heather : Il est en route.
Greg : En combien de temps c'est faisable ?
Heather : Pas plus d'une heure sinon rien ne va plus.
Greg : Ça ne nous laisse pas beaucoup de temps, les enfants.
Jules : Sergent, vous y allez et on vous tient au courant en direct ?
Greg : Ouais. Ouais, je suis partant. Heather, ça ne vous dérange pas de rester dans les parages ? Lou, Wordy, j'arrive. Allons voir si on peut rammener Mr Swanson chez lui.
Greg, Lou et Wordy sont dans un couloir pour se rendre dans la salle d'attente
Jules : Jack est un père divorcé, sans emploi, homme à tout faire. Vous pensez que c'est le genre de type qui fait feu ?
Heather : Je ne sais pas. C'est un gars ordinaire. Je pense qu'il est juste en train de craquer.
Ils arrivent dans la salle d'attente
Greg : Jack Swanson ? C'est la police, le SRU. Comment allez-vous ?
Ed : Ok, trois infirmières, un chirurgien. Patients immobilisés ici, ici et là. Y'a pas mieux pour une bavure. Où est notre homme ?
Sam : Il est là. Aux urgences cardio.
Ed : Le couloir de l'aile Est est stérile.
Sam : Stérile ?
Ed : Si le suspect ne bouge pas, on n'a aucun moyen de faire feu.
Sam : Et s'il bouge ?
Ed : Tout change.
Jack : Non, non, non. Non !
Greg : C'est bon, ces gars sont avec moi. Ils ne bougent pas à moins que j'en donne l'ordre.
Jules : 11h07, Sergent Gregory Parker commence la négociation.
Greg : C'est mon travail de vous aider et je m'assure que personne ne soit blessé.
Jack : Je veux que vous reculiez !
Greg : Je ne peux pas, Jack. Nous allons rester juste ici. Ça vous va si je vous appelle Jack ? Je m'appelle Greg.
Jack : Je ne plaisante pas !
Greg : Parlons, ok ?
Dans le local de la sécurité, Jules interroge Heather
Jules : Comment est sa vie familiale ?
Heather : Ils sont juste eux deux. Ils sont très proches. Sa femme est morte.
Jules : Vous savez comment ?
Heather : Elle a été tuée dans un accident de voiture. Jack conduisait.
Jules : (A Greg) Il souffre du syndrome du survivant suite au décès de sa femme.
Greg : Il semblerait que quelque chose vous a contrariez. Peut-être que je peux aider. Qu'est-ce que vous en pensez ?
Jack : Et si vous allumiez la TV. Ma fille la regardait tout à l'heure.
Jules : Il veut que sa fille jette un oeil à la TV, pas sur lui. Obtenons quelque chose de lui d'abord.
Greg : Je vais voir ce que je peux faire. En attendant, dites moi pourquoi nous sommes ici aujourd'hui. À quoi est dû tout ça, Jack ?
Jack : C'est pour sauver la vie de ma fille !
Greg : Très bien. Quel est son nom ?
Au poste de commandement
Ed : Nous avons deux civils dans la salle d'opération. Ici, et un groupe près du sujet, ici.
Sam : Nous savons déjà pourquoi le coupable est là.
Ed : C'est un suspect, pas un coupable.
Sam : C'est un mec avec un flingue.
Jules : C'est un père desepéré.
Ed : (A Greg) Pose des questions, montre-lui que tu l'écoute.
Jules : (en raccrochant) Très bien. Merci. Le coeur est là.
Greg : (doucement pour ne pas que Jack l'entende) Faites le nécessaire pour ne pas qu'on l'ait dans les pattes. Alors votre fille attendait un coeur, c'est ça, Jack ?
Jack : Exact. Depuis plus d'un an ! C'est sa dernière chance !
Greg : Je comprends. Alors travaillons ensemble et... Voyons si quelque chose en ressort, ok ? Mais, Jack, maintenant, je dois vous demander une petite faveur. Pouvez-vous me faire savoir comment les gens vont là-bas ? Car mes patrons veulent s'assurer que tout le monde va bien et... Je ne vois pas très bien d'où je suis, donc... J'ai besoin de savoir si ils vont bien. Pouvez-vous leur demander pour moi ?
Jack : (A sa fille) Ça va ?
Phoebe : Papa !
Jack : Je dois le faire, mon coeur. Je le dois. Tu vas bien ? Ok. (AUx chirurgiens) Et vous ca va ? Ouais, ils vont bien.
Greg : Et comment va l'autre patient ? Est-ce que l'autre patient va bien ?
Jack : Est-ce que vous vous... Vous allez bien ?
William, le patient, regarde Phoebe qui lui sourit
William : Oui...
Jack : Il va bien.
Greg : Merci, Jack. C'est du bon boulot
Dans le local
Spike : (A Heather) C'est plus dur de blesser quelqu'un avec qui vous êtes entré en contact.
Heather : Car là eux aussi deviennent de vrais êtres humains.
Greg : (A l'équipe) Tout va bien. Jack a fait un très bon travail ici. Alors comment nous faisons à propos de la TV pour Phoebe ?
Ed : Qu'est cce que tu en dit Jules ?
Jules : Je pense qu'il assure. " 11h14, Parker introduit Stockholm. Demande de TV accordée."
Ed : Il doit bien avoir une option moins mortelle.
Sam : Laissez-moi tirer et le problème résolu.
Ed : Trop risqué.
Sam : Je ne raterais pas.
Ed : Fragments d'arme à feu, des civils, nous n'échappons pas aux dommages de guerre ici, Sam.
Spike : Nous devons l'isoler.
Dehors, Luria arrive. Elle est dans sa voiture
Jules : "11h15, le psychologue médico-légal arrive sur la scène".
Luria : Bonjour, ici Luria.
Jules : Bonjour, doc. Le sujet est Jack Swanson, dans la transition de rouge à jaune, il est sensible à Stockholm.
Luria : Vous avez bien avancé à ce que je vois
Jules : Non, il travaille avec Greg Parker le magicien !
Luria : Laissez-moi vérifier son dossier médical et je reviens vers vous.
Ruby frappe a sa fenêtre, elle tient le jouet de Phoebe
Ruby : Ils ont dit que je devrais vous parler. Je suis l'infirmière à domicile de Jack Swanson.
Sam cherche toujours une autre option
Sam : Pourquoi ne pas lui envoyer une décharge ?
Ed : Spasme du muscle, il appuirait sur la gâchette.
Sam : On rentre tous en force !
Jules et Spike se regardent amusés
Ed : Ouais, j'y arrivais juste. Ecoute, il y a quelque chose que j'ai besoin que tu fasses. Très bien, tu vois ces escaliers ? C'est par là qu'on est arrivé, ok ? Je veux que tu les prennes en sens inverse. Traverse le couloir, et franchis ces portes. Maintenant fais attention car c'est une route large. Je veux que tu la traverses. Et que tu rentres dans ce café. Je prendrai un double café. Jules ?
Jules : Crème, pas de sucre.
Ed : Spike ?
Spike : (amusé) Non, c'est bon.
Sam : Vous êtes sérieux ?
Il se lève et s'en va
Jules : Le coup classique de la mission spéciale !
Ed rit
Luria parle avec Ruby
Luria : Vous pensez qu'on peut parler un peu des dernières semaines. Comment ça a été pour lui ?
Ruby : Bien sûr.
Luria : Super. (Elle regarde le jouet) Est-ce que c'est à Phoebe ?
Ruby : Oui.
Dans la salle d'attente
Jack : Et maintenant ils veulent donner son coeur à quelqu'un d'autre et ils espèrent quoi ? Que je laisse tomber ?
Jules : On attend toujours le coeur chef.
Greg : C'est votre fille.
Jack : Oui, oui. Voilà, vous voyez, vous avez compris, non ?
Greg : Vous voulez juste l'aider.
Jack : Vous avez des enfants, non ?
Greg : Je peux dire que vous l'aimez beaucoup, Jack.
Jack : Vous avez des enfants ?
Greg : Oui, en effet. Un garçon.
Jules : A quoi il joue ?
Heather : Qu'est ce qu'il y a ?
Jules : Paragraphe 101 : Ne jamais mentir au suspects.
Ed : Il ne ment pas, il a un gosse.
Jules : Sérieux ?
Ed : Tu étais pas née !!
Luria : Jules, elle pense que Jack n'a pas dormi depuis 3 jours.
Jules : Donc on est en face d'activités cognitives affaiblies, ainsi que d'irritabilité.
Luria : Emotions instables, impulsivité...
Sam sort de l'hopital. Il se retrouve devant un ambulancier qui transporte le coeur
Ambulancier : Maintenant ?
Sam : Maintenant quoi ?
Ambulancier : Le coeur, il a besoin d'aller là-bas sinon il meurt.
Sam : Bon, alors montez-le là-bas. Troisième étage.
L'ambulancier rentre dans le hall
Policier : Hé, ce périmètre est toujours interdit.
Ambulancier : Ce flic là m'a laissé entrer.
Retour sur Greg qui parle de son fils a Jack
Greg : Il a 16 ans. Il aura 16 ans la semaine prochaine.
Jack : Alors vous savez ce que c'est. Vous rentrez chaque jour pour vos enfants et c'est votre raison de vivre.
Greg : C'est vrai, les gosses vous gardent en vie.
Jack : Alors pouvez-vous imaginez perdre cela ?
Greg : Oui, oui, je peux m'imaginer.
Jack : Je veux dire, vous feriez tout pour votre enfant ? Comment s'appelle-t-il ?
Greg : Dean.
Jack : Dean. Qu'auriez-vous fait ? Allez-y, aidez-moi un peu là, qu'auriez-vous fait ?
A ce moment là, l'ambulancier rentre dans la salle avec le coeur
Greg : Que se passe-t-il ? On a une brèche. Wordy, vas-y.
Spike : Ca sent pas bon !
Jack : C'est le coeur, c'est ça ?
Greg : Jack ! Jack, restez juste avec moi.
Jack : C'est son coeur.
Jack court et rattrape l'ambulancier
Jack : Excusez-moi, excusez-moi, je prends ça. Donnez-le moi ! Donnez-le moi !
Wordy : Il a le coeur.
Jules : C'est quoi cette histoire !!
Ed : Bloquez les ascenseurs.
Wordy : (A l'ambulancier) Hé, hé, toi. Tu ne tentes rien et tu t'en vas.
Jack : (A Greg et Lou) Ok, reculez.
Greg : Ok, Jack. Gardez le flingue baissé, ok ? On fait quoi maintenant ?
Jack : Ben, on... On a été bippé, j'ai le coeur, alors je pense que vous savez ce que l'on fait. Ils ont déja vérifié son sang et ses urines alors ils peuvent commencer son immunosuppresseur.
Greg : Non !
Jack : (aux chirurgiens) Maintenant, allons-le faire alors.
Greg : Doc, vous restez où vous êtes.
Ed : Spike, tu deviens mon second. Jules ?
Jules : (en prenant une arme) Comprit!
Chirurgien : (en poussant le lit de William) On doit le préparer pour l'opération.
Jack : Non, il ne va nul part.
Chirurgien : On ne peut pas perdre ce coeur.
Jack : Ce coeur est pour ma fille !
Greg : Calmez-vous, Jack. Réfléchissez bien.
Jack : Très bien, laissez-le là-bas ! Laissez-le ! Arrêtez !
Greg : Du calme, on sera tous sain et sauf.
Jules : Je vois la cible.
Jack : Stop, stop, stop ! Stop ! Stop ! Stop !
Il s'arrête en pointant l'arme au plafond
Greg : Le cran de sûreté est enclenché
Ed : Non-léthale, c'est le moment.
Jack : Stop.
Wordy surgit derrière lui mais Jack se retourne au même moment et lui tire dessus
Jules : Coup de feu. Coup de feu. Officier à terre !
Ed : Wordy ?
Jack est paniqué par ce qu'il vient de faire
Jack : Je ne voulais pas faire ça !
Ed : Wordy ?
Wordy : (en rampant) Je suis ok. Gilet par balle.
Greg : On n'ouvre pas le feu. On n'ouvre pas le feu.
Jack : Je suis... vraiment désolé !
Greg : On n'ouvre pas le feu, Jack.
Jules : J'attend vos ordres.
Ed : Wordy, je te retire.
Wordy : Reçu.
Spike : 11h28, le coeur est entré dans le périmètre. Le sujet s'est intensifié en rouge.
Greg : Jack, écoutez-moi, ok ? Ce n'est pas ce que vous vouliez faire.
Ed : Jules, sois prête.
Jack : Non, je ne le voulais pas.
Greg : Il va bien, Jack. Vous allez bien, Mr. Wordsworth ?
Wordy : Je vais bien !
Greg : Il va bien, Jack. Vous voyez ? Votre balle a frappé son gilet et c'est une bonne chose. Et c'est bien que j'ai été là et que j'ai vu que vous ne vouliez pas utiliser ce pistolet sur mon ami, hein ?
Jack : Oui, non, je ne voulais pas.
Greg : Ok, bien sûr que non. Et je vous fais confiance là-dessus, alors maintenant vous allez me faire confiance, d'accord ? On est à court de temps pour ce coeur, Jack. Qu'en dites vous de le donner au docteur ?
Jack : Je ne peux pas faire ça.
Greg : Jack.
Ed : Spike. On doit le sortir de la salle d'attente. On a besoin d'une chambre vide.
Jack : Hé, regardez, vous allez commmencer à préparer ma fille pour l'opération maintenant, d'accord ?
Greg : Docteur, n'avez-vous pas besoin de faire des tests sur ce coeur pour être sur qu'il est utilisable ?
Jack : Oui. On doit examiner le cœur pour s'assurer que les tissus n'ont pas été endommagés durant le transport.
Greg : C'est pas rien une greffe, il faut la faire dans les règles, hein ?
Jack : Oui, ok, mais je reste avec lui.
Greg : C'est faisable docteur ? N'avez-vous pas besoin d'un environnement stérile ?
Docteur : Oui.
Greg : Alors c'est un problème, Jack. Vous voyez, ce flingue, ce flingue n'est pas stérile. Vous vous rappelez ce qu'on disait... Faire tout ce qu'on peut pour notre enfant ? C'est une de ces choses.
Jack : Ok. Ok. Très bien.
Il donne le coeur au docteur. Avec ses collègues, ils emmènent William avec eux.
Jack : Lui, il reste là !
Greg : Ok, Jack.
Dans le local, Wordy retire son gilet par balle
Hetaher : C'est pas juste. C'était sa décision.
Ed : De quoi ?
Heather : Elle était mourante et ils l'ont forcé à décider, il a choisi de ramener Phoebe à la maison. Il doit penser que c'est sa faute.
Greg : Allez, qu'est ce qui se passe les gars ?
Spike : On n'arrive pas à isoler Jack.
Greg : Alors, continuons à travailler là-dessus.
Ed : Est-ce que ces deux salles d'opération sont côte à côte ?
Heather : Oui.
Ed : Spike, t'as ammené les charges ?
Spike : Oui.
Ed : On va également avoir besoin des cordes de rappel . Wordy, tu vas remplacer Spike. Patron ? Voilà à quoi je pense. On a peut-être un plan B. On va mettre Phoebe dans la salle d'opération 1. Pour tromper Jack, aucune promesse. Lewis, tu intervins a mon signal ?
Lou : Compris.
Ed : Très bien, on arrive à court de temps. Suivons ce plan. Sergent, je revient vers vous. Reste à l'écoute.
Lou : Compris.
Greg : Jack ?
Jack : Quoi ?
Greg : Ils sont toujours en train de faire des tests sur le coeur. Rien de nouveau et aucune promesse, mais on veut bouger Phoebe dans la salle d'opération. Et la préparer au cas où. Est-ce que ça vous va ?
Jack : Oui. Oui, ça serait... Ça serait bien.
Greg : Ok.
Jack : Merci.
Les infirmiers bougent Phoebe, accompagnait de Jack
Ed : Jules, le sujet bouge. Prends le couloir blanc. Allez, allez.
Luria : Médicaments et santé mentale : rien à signaler. Prescription pour des anti-dépresseurs après la mort de sa femme. Son infirmière dit que sa famille vit de l'autre coté de l'océan.
Ed : On a moins d'une demi heure pour le coeur.
Spike : On n'a nulle part où aller. l y a des civils partout. Salle d'op, unité de soins intensifs. Notre seule solution est mortelle. On veut sauver Jack ou le coeur ?
L'équipe médicale ramène William
Jack : Que faites vous ? Allez-y, remettez-le à sa place. Allez, à sa place.
Greg : Du calme, Jack. À sa place. Restez-là. Laissez-le là.
Jules se met en place
Ed : Sierra un ?
Jules : En position.
Ed : Jules l'a.
Greg : Lewis, tu peux disposé.
Dehors, Sam reviens
Luria (A Greg): Reste sur les choses joyeuses.
Elle voit Sam
Luria : Sam ! C'est vous qui leur avait envoyé le coeur ?
Sam : Oui, on manquait de temps, j'en ai conclus...
Luria : Jamais, ne tirer jamais de conclusion, Sam. Si ça à l'air simple, généralement ça ne l'est pas. Tu as allumé la mèche et laissé ton équipe éteindre le feu.
Sam : Tout le monde va bien ?
Luria prend le jouet de Phoebe et le donne a Sam
Luria : On peut repartir sur une base de confiance tout les deux ?
Sam : Ça appartient à la fille ? Je devrais l'amener en haut, ça pourrait aider.
Luria : Bonne idée.
Dans le couloir, la télé a été mise, c'est la suite de la course
TV : "C'est les derniers tours. Maintenant, Gianni a gagnée la pole pour les deux courses l'année passée."
Greg : Il reste 10 tours.
Jack : Oui.
Greg : Gianni est en tête, mais ça ne veut rien dire. Garrity est derrière, mais il garde son énergie pour les 2 derniers tours.
Jack : Il est comme Capretti.
Greg : '98, Daytona
Jack : vous l'avez vu ?
Greg : J'y étais.
Jack : C'est vrai ?
Greg : Ouais. Oui, un ami a fait un camp d'été avec Capretti et heu... Il nous a fait rentrer. En tant que VIP.
Jack : Êtes-vous allé avec votre fils ?
Greg : Oui. On a réussi à aller dans les stands. Capretti a donné à Dean un de ses gants de course.
Jack : Sans déconner
Greg : Vous regardez avec Phoebe ?
Jack : Oh, oui. Est-ce que votre fils, est toujours fan ?
Greg : Je ne sais pas trop.
Jack : Comment ça, svous ne savez pas trop ?
Greg : Ben, je ne sais pas tout court. Je ne l'ai pas vu depuis longtemps.
Jack : Combien de temps ?
Greg : Je ne l'ai pas vu depuis 9 ans.
Jack : Attendez, une seconde, vous venez de me dire que votre fils était votre vie.
Greg : Oui, c'est vrai. Il l'est.
Jack : Non, vous avez dit que vous saviez ce que c'était de rentrer à la maison chaque jour pour votre fils.
Greg : Pas tout à fait. Ce que j'ai dit... J'ai dit que...
Wordy : Il a dit, "vous rentrez chaque jour pour votre fils, il vous garde en vie." Tu as dit "c'est vrai, votre fils vous garde en vie."
Greg : J'ai dit, "c'est vrai, votre fils vous garde en vie." Et non, "je le vois chaque jour." J'ai dit, "il vous garde en vie." Et c'est vrai. Ma femme est partie il y a 9 ans avec Dean et... J'ai essayé de me retourner pour être une meilleure personne... Un meilleur père, mais... Je ne sais pas, je ne sais pas si il aime toujours ces courses là. Je ne connais pas la pointure de ces chaussures, Jack. J'ai perdu ma chance. J'ai perdu ma chance. Mais ce que vous essayez de faire pour votre fille, je le comprends. Je comprends vraiment, et je ne peux pas dire que je n'aurais pas fais la même chose. Mais à la fin de la journée, vous devez être là pour elle.
Jack : Non, non, vous savez quoi ? Ça ne compte pas. Le fait est, ça ne compte pas que je soit là pour elle. Ce qui compte... C'est qu'elle soit toujours en vie. C'est tout. Voilà ce qui est important. Alors... où en est le coeur ? Pourquoi ils ne l'ont pas donné à Phoebe ?
Wordy : Patron, le coeur n'est plus viable très longtemps. Il ne reste que 15 minutes.
Greg : Très bien, je vais enfreindre beaucoup de lois maintenant, Jack. Ok ? La vérité est que... Ils ne vont pas laisser Phoebe avoir ce coeur.
Jack : Non, non, vous avez dit qu'ils étaient en train de s'en occuper ?
Greg : C'est ce que... C'est ce que les négociateurs font parfois. On essaie de gagner du temps, on refile la responsabilité à quelqu'un d'autre, on déforme la vérité, mais, je ne veux pas vous mentir, Jack.
Wordy : A quoi il joue là ?
Ed : Il sait qu'on arrive à la fin.
Wordy : Ouais, mais on ne peut pas...
Ed : Il sait ce qu'il fait.
Greg : J'aurais pu continuer à leur demander. Je peux continuer à leur demander, mais le truc c'est que, c'est que... Ils ne vont jamais vous laisser avoir ce coeur.
Jack : Oui. Non, non. Oui, ils vont. Ils vont.
Greg : Jack, un mec arrive armé et obtient ce qu'il veut, la prochaine fois vous savez, un paquet de gens pensera : "Hé, peut-être que je peux faire la même chose." Ça deviendra un gros problème, Jack. Je sais que vous êtes fatigué. Je sais que vous êtes crevé. Il y a une chance que votre fille trouve un autre coeur. Vous avez encore une chance. Si vous le leur donnez, si vous les laissez faire leur travail.
Jack : Ok. Très bien. Ok.
Il leur fait signe de y aller, il se pose contre une porte et il fond en larmes
Greg : Ça va bien se passer. Allez. Merci, Jack. Allez-y. C'était un bon choix, Jack. C'était un bon choix.
William part au bloc
Ed : Le statut du suspect, Jules ?
Jules : Il décompresse.
Docteur : Maintenant, enlevons le de ce chariot et mettons-le...
Greg : Posez votre arme maintenant, sur le sol.
Jack : Ne vous approchez pas de moi.
Il rentre dans le bloc
Jack : Ok, vous avez dit que ce coeur était encore bon. C'est bien ça ?
Jules : Pas la cible en vue. Pas la cible en vue.
Wordy : C'est pas bon du tout.
Ed : Option B. Sierra un, on échanges de position. Allez.
On voit Jules s'en allez tandis que Ed marche dans le couloir ...
Ed et Jules se croisent dans le couloir. Elle rejoint Spike sur le toit. Ils descendent en rappel. Pendant ce temps, Greg ouvre la porte du bloc. Ed pointe son arme sur Jack
Jack : Je vous ai dit de ne pas m'approcher !
Greg : Jack, ne le faites pas.
Jack : Je vous ai dis de rester dehors!
Greg : Jack, regardez cet homme. Regardez-le.
Jack regarde William
Greg : Il s'appelle...
Wordy : William.
Greg : Wiliam. Jack... Vous n'êtes pas obligé de faire ça.
Jack : Si il le faut, il le faut !
Wordy : Patron , ic'est une question de minute pour le coeur. Vous devez faire quelque chose
Greg : Jack, je suis désolé.
Jack : Quoi ?
Greg : Je suis désolé, Jack, mais les tests ont été effectués et le cœur est endommagé.
Jack : J'en crois pas un seul mot !!
Greg : Jack, vous pouvez utiliser cette arme, mais je vous assure cela ne servirait à rien, cela ne servirait à rien. Donc vous pouvez décider de faire quelque chose pour rien ou vous pouvez aller dans cette chambre là-bas et être avec votre fille. Elle aura peut-être une autre chance. Peut-être un autre coeur va arriver. Vous devez croire que ça arrivera. Mais à l'instant, que pensez- vous que Phoebe souhaiterait ? Maintenant ? Si vous voulez voir votre fille... Allez voir Phoebe, Jack. Nous allons reculer.
Sam arrive et tend le jouet à Greg. Il le pose sur une petite table devant Jack
Greg : C'est quelque chose dont vous aviez besoin ?
Jack prend le jouet, hésite, puis sort du bloc pour aller dans celui d'à côté
Ed : Spike et Jules, soyez prêt. Le sujet se déplace, il est toujours armé. Agissait rapidement. Il n'a plus rien à perdre, il pourrait retourner son arme contre lui
Jack rentre dans le bloc. Il tire le rideau et découvre un lit vide. A cet instant, les vitres explosent
Spike et Jules : Police ! À terre ! Lachez votre arme ! Lachez votre arme ! Ne bougez pas ! Ne bougez pas ! Restez à terre ! Ne bougez pas ! Restez à terre !
Greg : Je suis désolé.
Jack : Vous avez dit que le coeur n'était plus bon.
Greg : Oui, je voulais vous épargniez.
Jack : Vous avez dit que vous saviez ce que c'était, mais vous ne savez pas. Vous ne savez pas ce que c'est !
Jules : Ça va, sergent ?
Greg : Ouais.
Spike : Allons-y.
Wordy : 11h53. Sujet maîtrisé, incident résolu.
Greg rentre dans le local
Ed : Vous l'avez énervé.
Greg : Wordy, imprime les minutes.
Ed : Vous avez laissé la conversation devenir personnelle.
On voit Luria dans sa voiture. Greg monte dans la sienne. Dans le bloc, William est sur le point de se faire endormir. Mais il fait signe pour parler au médecin. Jules sort de la salle. Elle voit William sortir du bloc, tandis que Phoebe y rentre
Jules : Que se passe-t-il ?
Heather : Changement de programme !
On voit Heather avec William
Heather : Vous avez sauvé une vie aujorud'hui.
William : C'était pas mon tour...
Phoebe reviens de son opération. Elle dort toujours. Greg vient lui rendre visite. Il sourit et met le gant de Capretti de son fils. Puis il va voir Jack en prison. Il lui annonce quelque chose. Jack se prend la tête dans les mains.